http://www.dailymotion.com/video/x29uwh0_dieudonne-et-alain-soral-presentent-le-parti-reconciliation-nationale-11-11-2014_news
Les activistes sionistes utilisent leur pouvoir pour créer le chaos. Un premier groupe de sionistes dits "antiracistes" a amené des immigrés en masse avec la volonté ferme de ne pas les assimiler et en diabolisant le français patriote. Puis un 2e groupe de sionistes cette fois anti-islam, actuellement majoritaire, autorise de nouveau le Français moyen a être patriote à condition qu'il considère le musulman comme fautif.
Soral et Dieudonné sont d'authentiques antiracistes (mais sont traditionalistes et nationalistes, ce qui ne plaira pas à tout le monde) : ils proposent d'insister sur le fait que les musulmans ont les mêmes valeurs que tous les Français qui ne renient pas leur héritage : c'est une réconciliation. Soral et Dieudonné invitent tous les Français dont les Juifs (les "Juifs du quotidien") à comprendre que le chaos et la guerre civile sont préparés depuis longtemps par les activistes sionistes qui ont trop longtemps bénéficié d'un pouvoir qui les a corrompus.
Pas de démocratie possible quand on retire à un concitoyen son ambivalence.
Être démocrate et ne pas usurper cette qualité suppose un travail quotidien de nettoyage de ses préjugés.
mercredi 12 novembre 2014
dimanche 6 juillet 2014
Bienvenue en dictature douce !
Il est crucial de regarder le contexte actuel via les médias alternatifs.
Derrière les résolutions philosophiques et politiques des concitoyens qui font l'énorme erreur de faire confiance aux merdias se cache une naïveté grossière qui consiste à ne jamais voir le tribalisme sioniste caché derrière l’alibi de l’universalisme. Vous êtes contre le “complotisme” DONC Bernard-Henry Levy et autres oligarques vicieux ont tout le loisir d’exploiter les ressources de la France pour servir des intérêts étranger et ce dans un climat de manipulation médiatique kafkayen. Ne soyez pas naïfs : la plupart des gens que vous appelez naïvement « fascistes » sont des conservateurs, des patriotes et des critiques du phénomène de double allégeance chez les élites ; en démocratie, ils ont le droit d’avoir ces opinions. Mais ces gens-là, ces concitoyens dissidents, sont sournoisement opprimés.
Il existe bien sûr du complotisme insensé mais il faut constater des choses qui ne sont pas des complots mais des convergences idéologiques entres hommes & femmes de pouvoir (que l'on voit très bien se réunir au Siècle). Il est aujourd'hui facile de constater des phénomènes :
- de proximité idéologique chez les élites (par exemple les actionnaires des grands groupes qui détiennent médias : pensée unique, mensonge généralisé, propagande anti-conservatisme et pro-sioniste dans les “JT” qui sont des émissions militantes) ;
- de domination idéologiques d'élites sur d'autres (le Crif dictant sa grille de lecture aux autres hommes de pouvoir).
L'idéologie dominante (qui résulte en une propagande médiatique) est progressiste, mondialiste, atlantiste et sioniste. L'objectif est de disqualifier le conservatisme, le patriotisme national et toute critique de l'oligarchie sioniste en place. Les citoyens qui accordent passivement leur confiance aux médias sont donc neutralisés intellectuellement et moralement ; ils ne voient pas qui sont les méchants & voient en leurs concitoyens renseignés des extrémistes frustrés dans la vie.
Critiquez le lobby sioniste et vous serez déclaré antisémite. Pointez du doigt les abus de pouvoir du lobby LGBT et on vous présentera comme quelqu'un d'arriéré, d'homophobe et de fascisant.
Il y a ENORMEMENT de faits qui se sont accumulés pour prouver l'existence d'un "Système", vous savez, celui dénoncé par la quenelle de Dieudonné. Voir par exemple ces révélations sur les merdias : http://www.dailymotion.com/video/x1bwehd_restez-debranches-episode-4-les-medias_webcam#from=embediframe
Il y a une oligarchie, c'est absolument factuel.
- Le Crif invite du pouvoir et lui dicte sa grille ;
- "les Juifs" sont désormais "l'avant-garde de la République" selon notre premier ministre ;
- Israël est plus important que les retraites des Français selon l'un de nos députés ;
- la Ligue de Défense Juive qui s'entraîna dans des locaux de la police est la seule milice autorisée en France avec déni total de la part des médias et des personnes interviewées ;
- Bernard-Henry Levy, "membre de la tribu d'Israël" en charge des affaires géopolitiques en France n'est jamais critiqué sur son activisme pro-sioniste que l'on pourrait qualifier d'intégrisme talmudien, au lieu de cela les merdias lavent & repassent ses chemises ;
- le conseil d'Etat a été levé par Manuel Valls alors ministre de l'Intérieur de façon irrégulière pour neutraliser l'ennemi public Dieudonné, la séparation des pouvoirs a été bafouée dans une dynamique inquiétante qui ressemblait drôlement à une dérive totalitaire ;
- tabou total sur les financements de la guerre et de la mafia quand des entreprises et banques juives sont concernées (ne parlez surtout pas de Rothschild sinon on vous collera une croix gammée sur le front) ;
- tabou absolu sur le communautarisme juif (flagrant dans les médias et le cinéma) alors qu'on en fait des tonnes sur le communautarisme musulman ;
- omerta médiatique plus que grossière sur des organisations dirigeant l'activisme des élites comme le Siècle, Bilderberg ou l'indécrottable Franc-Maçonnerie ;
- la Shoah (dont la 2nde Guerre Mondiale est un point de l'histoire) que l'on tente inlassablement d'ériger en religion d'Etat ;
- juste avant le vote du mariage pour tous les médias ont toujours avantagé le camp progressiste en diffamant l'autre camp (voir les directs de BFM WC entre autres)
- jamais il n'a existé de description honnête des dissidents Français sur un merdia officiel, jamais il n'a été dit qu'A. Soral est un activiste opposé à une oligarchie radicalement sioniste, au lieu de cela il se serait toujours attaqué au peuple juif dans son ensemble, ce qui est strictement faux ;
- ETC (j'en oublie tellement) ! Réveillez-vous !
Je vous conseille de jeter un oeil curieux à l’Agence Info Libre si ce n’est Egalité & Réconciliation.
La France est tout sauf une démocratie aujourd’hui. C’est une dictature douce. Que faut-il entendre par dictature douce ? Une dictature sournoise et perverse : la terreur morale, la censure, l'auto-censure, l’anathème, la diffamation & la persécution judiciaire vis-à-vis de la dissidence remplacent l’envoi dans des camps de travaux par rapport à une dictature explicite. J’espère que ça vous gêne, au moins.
P.S. : je suis progressiste et cosmopolite, vous savez. Nul besoin d’avoir les valeurs de Soral et Dieudonné pour les défendre aujourd’hui (je connais d'ailleurs des lesbiennes qui défendent à juste titre la très conservatrice Farida Belghoul). Il suffit juste d’être démocrate. Et d’être curieux. Et de ne pas apprécier quand l’ensemble des merdias nous prennent pour de la pâte à modeler.
Derrière les résolutions philosophiques et politiques des concitoyens qui font l'énorme erreur de faire confiance aux merdias se cache une naïveté grossière qui consiste à ne jamais voir le tribalisme sioniste caché derrière l’alibi de l’universalisme. Vous êtes contre le “complotisme” DONC Bernard-Henry Levy et autres oligarques vicieux ont tout le loisir d’exploiter les ressources de la France pour servir des intérêts étranger et ce dans un climat de manipulation médiatique kafkayen. Ne soyez pas naïfs : la plupart des gens que vous appelez naïvement « fascistes » sont des conservateurs, des patriotes et des critiques du phénomène de double allégeance chez les élites ; en démocratie, ils ont le droit d’avoir ces opinions. Mais ces gens-là, ces concitoyens dissidents, sont sournoisement opprimés.
Il existe bien sûr du complotisme insensé mais il faut constater des choses qui ne sont pas des complots mais des convergences idéologiques entres hommes & femmes de pouvoir (que l'on voit très bien se réunir au Siècle). Il est aujourd'hui facile de constater des phénomènes :
- de proximité idéologique chez les élites (par exemple les actionnaires des grands groupes qui détiennent médias : pensée unique, mensonge généralisé, propagande anti-conservatisme et pro-sioniste dans les “JT” qui sont des émissions militantes) ;
- de domination idéologiques d'élites sur d'autres (le Crif dictant sa grille de lecture aux autres hommes de pouvoir).
L'idéologie dominante (qui résulte en une propagande médiatique) est progressiste, mondialiste, atlantiste et sioniste. L'objectif est de disqualifier le conservatisme, le patriotisme national et toute critique de l'oligarchie sioniste en place. Les citoyens qui accordent passivement leur confiance aux médias sont donc neutralisés intellectuellement et moralement ; ils ne voient pas qui sont les méchants & voient en leurs concitoyens renseignés des extrémistes frustrés dans la vie.
Critiquez le lobby sioniste et vous serez déclaré antisémite. Pointez du doigt les abus de pouvoir du lobby LGBT et on vous présentera comme quelqu'un d'arriéré, d'homophobe et de fascisant.
Il y a ENORMEMENT de faits qui se sont accumulés pour prouver l'existence d'un "Système", vous savez, celui dénoncé par la quenelle de Dieudonné. Voir par exemple ces révélations sur les merdias : http://www.dailymotion.com/video/x1bwehd_restez-debranches-episode-4-les-medias_webcam#from=embediframe
Il y a une oligarchie, c'est absolument factuel.
- Le Crif invite du pouvoir et lui dicte sa grille ;
- "les Juifs" sont désormais "l'avant-garde de la République" selon notre premier ministre ;
- Israël est plus important que les retraites des Français selon l'un de nos députés ;
- la Ligue de Défense Juive qui s'entraîna dans des locaux de la police est la seule milice autorisée en France avec déni total de la part des médias et des personnes interviewées ;
- Bernard-Henry Levy, "membre de la tribu d'Israël" en charge des affaires géopolitiques en France n'est jamais critiqué sur son activisme pro-sioniste que l'on pourrait qualifier d'intégrisme talmudien, au lieu de cela les merdias lavent & repassent ses chemises ;
- le conseil d'Etat a été levé par Manuel Valls alors ministre de l'Intérieur de façon irrégulière pour neutraliser l'ennemi public Dieudonné, la séparation des pouvoirs a été bafouée dans une dynamique inquiétante qui ressemblait drôlement à une dérive totalitaire ;
- tabou total sur les financements de la guerre et de la mafia quand des entreprises et banques juives sont concernées (ne parlez surtout pas de Rothschild sinon on vous collera une croix gammée sur le front) ;
- tabou absolu sur le communautarisme juif (flagrant dans les médias et le cinéma) alors qu'on en fait des tonnes sur le communautarisme musulman ;
- omerta médiatique plus que grossière sur des organisations dirigeant l'activisme des élites comme le Siècle, Bilderberg ou l'indécrottable Franc-Maçonnerie ;
- la Shoah (dont la 2nde Guerre Mondiale est un point de l'histoire) que l'on tente inlassablement d'ériger en religion d'Etat ;
- juste avant le vote du mariage pour tous les médias ont toujours avantagé le camp progressiste en diffamant l'autre camp (voir les directs de BFM WC entre autres)
- jamais il n'a existé de description honnête des dissidents Français sur un merdia officiel, jamais il n'a été dit qu'A. Soral est un activiste opposé à une oligarchie radicalement sioniste, au lieu de cela il se serait toujours attaqué au peuple juif dans son ensemble, ce qui est strictement faux ;
- ETC (j'en oublie tellement) ! Réveillez-vous !
Je vous conseille de jeter un oeil curieux à l’Agence Info Libre si ce n’est Egalité & Réconciliation.
La France est tout sauf une démocratie aujourd’hui. C’est une dictature douce. Que faut-il entendre par dictature douce ? Une dictature sournoise et perverse : la terreur morale, la censure, l'auto-censure, l’anathème, la diffamation & la persécution judiciaire vis-à-vis de la dissidence remplacent l’envoi dans des camps de travaux par rapport à une dictature explicite. J’espère que ça vous gêne, au moins.
P.S. : je suis progressiste et cosmopolite, vous savez. Nul besoin d’avoir les valeurs de Soral et Dieudonné pour les défendre aujourd’hui (je connais d'ailleurs des lesbiennes qui défendent à juste titre la très conservatrice Farida Belghoul). Il suffit juste d’être démocrate. Et d’être curieux. Et de ne pas apprécier quand l’ensemble des merdias nous prennent pour de la pâte à modeler.
samedi 4 janvier 2014
Lévy contre Lévy
Décidemment, ce Max Lévy, il est pas mal. Je copie-collerai l'un de ses récents billets ici en précisant ma différence entre sa logique (soralienne) et la mienne : au lieu de critiquer la "communauté juive organisée" en lançant des procès d'intention aux oligarques juifs et philosémites, je bannis le procès d'intention et je ne dénonce que l'espace d'impunité entretenu par les médias à ces oligarques. Par ailleurs, je n'ai pas l'idéologie anti-progressiste des soraliens.
Je parle d'oligarques d'une part car l'union européenne et le système représentatif en soi présentent des failles démocratiques ce qui permet des prérogatives discrétionnaires et potentiellement des abus (cela s'est amplement vérifié) ; et d'autres part il est question d'oligarques pour la raison suivante :
on est responsable de ses actes (on vit avec la crainte du retour de bâton), sauf quand on pratique la double allégeance envers la France et Israël (tricherie d'un lobby sioniste qui utilise des prérogatives de députés, entre autres), quand on obéit à la ligne imposée par le Crif tout en représentant le peuple français, quand on agit en opposition à la démocratie en favorisant une communauté par rapport à d'autres dans le droit à être ciblé par la satyre ou à la subvention publique, quand on refuse catégoriquement de faire la différence entre le peuple juif et ses représentants auto-proclamés afin de pouvoir incriminer facilement, quand on réserve l'intégrisme au christianisme et à l'islam en feignant d'ignorer qu'il peut être talmudien ou sioniste, quand on met de côté qu'Israël est gouverné par des rétrogrades racistes digne des moments de guerre et de ségrégation du XXe siècle (la fameuse "extrême droite"), et autres tabous philosémites soigneusement entretenus par les médias. La raison de l'impunité qui permet une certaine oligarchie est que, sur les points que j'ai mentionné, on ne peut pas se faire dénoncer autre part quand dans la dissidence grimpante.
Sans procès d'intention envers ces juifs et philosémites de pouvoir, donc, je ne dénonce que la présence d'une impunité.
Maintenant c'est Lévy contre Lévy. Joli texte :
" Invitée du journal de France Culture le vendredi 3 janvier de cette nouvelle année, Élisabeth Lévy verse à nouveau dans la question, à laquelle elle soumet un peuple décidément de moins en moins terrorisé à l’idée d’y répondre.
On se souvient du désormais célèbre « Il y a trop de quoi ? », jeté au visage interdit du président du CRAN qui se plaignait du manque de représentativité des personnes issues de l’immigration africaine dans les médias.
Cette injonction contradictoire fut révélatrice de l’inquiétante schizophrénie qui guette les membres privilégiés de ma communauté.
« Il y a trop de quoi ? » signifiait à la fois « dites-moi ce que je ne veux pas entendre » et « vous voyez bien que vous ne pouvez pas le dire, alors taisez-vous ».
C’est un spectacle pathétique de voir combien la sincérité d’un credo universaliste et républicain se heurte à l’ethos tribal et suprémaciste à l’intérieur d’un même individu, victime consentante d’une duplicité destructrice instillée par le rabbinat impérial.
Ainsi voit-on, depuis quelques années que glisse le masque, les visages de ces représentants de la communauté captivante se déstructurer, leurs bouches fuyant leur nez et leurs yeux s’agitant dans leur orbites en cherchant la sortie. Parkinson perçant sous Finkielkraut, BHL dont la bouche en cul de poule tente de fuir à l’anglaise pour se cacher de trop de mensonges, Élisabeth dont les globules azurés semblent chercher frénétiquement le précieux anneau de son Seigneur.
Voyez maintenant le visage de l’ogre de Yaoundé, notre pape noir de la haine : point de tics, nul tocs, on n’y distingue aucune trace de lutte interne, de contradiction, toute l’adversité lui vient du dehors. À méditer.
Toujours sur le registre d’un questionnement qui relève autant de l’inquiétude que de la menace, notre agitée du bocal républicain a donc exprimé ses inquiétudes quant à la stratégie adoptée par les autorités au sujet de Dieudonné.
Manifestement empressée de réparer l’énorme bourde du petit Klarsfeld ayant appelé au trouble à l’ordre public afin de justifier a posteriori l’interdiction des spectacles de Dieudonné rêvée par le ministre de l’Intérieur, notre hystérique barbeau national a tenté de sauver la face.
Ainsi, plutôt que de donner du goy à moudre à la LDJ, elle en appelle à ne plus s’en prendre au prétendu « antisémitisme » de tous ces jeunes qui suivent l’humoriste franco-camerounais mais à leur rejet du « système ».
Élisabeth Lévy est peut-être psychiquement instable, mais, contrairement au chevelu halluciné du barreau, elle n’est pas idiote.
Elle se rend bien compte que la stratégie qui consiste à traiter d’antisémites des millions de joyeux insoumis ne peut que se retourner contre ceux qui la suivent. D’où sa sortie sur France Culture :
« Il faut parler aux spectateurs de Dieudonné. (...) Comment avons-nous laissé s’installer l’idée qu’il était intelligent, raisonnable, admissible, respectable d’être contre le système ?
C’est sacrément con d’être contre le système... (...) On est dans un pays non-démocratique pour pouvoir s’opposer au système de façon aussi stupide ?
(...) C’est quoi le système ? C’est le système démocratique que nous avons collectivement adopté ? C’est quoi ? »
Madame Lévy, ayant pour ma part réservé une place pour assister au dernier spectacle de Dieudonné, je me sens autorisé à répondre.
Concernant la première question, puisqu’elle s’adresse à votre comité pastoral de direction de l’opinion publique, je m’en remets à votre for intérieur, hélas assiégé par l’angoisse de connaître la réponse.
Étant sacrément con, je n’ai jamais cru que ce système soit « démocratique », et encore moins qu’il ait été « collectivement adopté ».
J’ai plutôt tendance à y voir une monstrueuse mécanique nihiliste à l’œuvre, un projet en cours de destruction de la terre et de mise en esclavage des peuples, le tout soutenu par un réseau de mensonges spectaculaires auquel vous participez avec zèle et scrupules.
Et vous le savez.
À vous et à tous les juifs qui se posent en gardiens du système, je vous adresse ce message :
Renoncez à vos avantages, mettez vos performances pratiques et intellectuelles au service de la liberté et du bien commun et ne craignez plus la vengeance de vos maîtres.
C’est en renonçant à la peur, vous aussi, que vous serez sauvés.
Max Lévy "
http://www.egaliteetreconciliation.fr/C-est-quoi-le-systeme-22433.html
Je parle d'oligarques d'une part car l'union européenne et le système représentatif en soi présentent des failles démocratiques ce qui permet des prérogatives discrétionnaires et potentiellement des abus (cela s'est amplement vérifié) ; et d'autres part il est question d'oligarques pour la raison suivante :
on est responsable de ses actes (on vit avec la crainte du retour de bâton), sauf quand on pratique la double allégeance envers la France et Israël (tricherie d'un lobby sioniste qui utilise des prérogatives de députés, entre autres), quand on obéit à la ligne imposée par le Crif tout en représentant le peuple français, quand on agit en opposition à la démocratie en favorisant une communauté par rapport à d'autres dans le droit à être ciblé par la satyre ou à la subvention publique, quand on refuse catégoriquement de faire la différence entre le peuple juif et ses représentants auto-proclamés afin de pouvoir incriminer facilement, quand on réserve l'intégrisme au christianisme et à l'islam en feignant d'ignorer qu'il peut être talmudien ou sioniste, quand on met de côté qu'Israël est gouverné par des rétrogrades racistes digne des moments de guerre et de ségrégation du XXe siècle (la fameuse "extrême droite"), et autres tabous philosémites soigneusement entretenus par les médias. La raison de l'impunité qui permet une certaine oligarchie est que, sur les points que j'ai mentionné, on ne peut pas se faire dénoncer autre part quand dans la dissidence grimpante.
Sans procès d'intention envers ces juifs et philosémites de pouvoir, donc, je ne dénonce que la présence d'une impunité.
Maintenant c'est Lévy contre Lévy. Joli texte :
" Invitée du journal de France Culture le vendredi 3 janvier de cette nouvelle année, Élisabeth Lévy verse à nouveau dans la question, à laquelle elle soumet un peuple décidément de moins en moins terrorisé à l’idée d’y répondre.
On se souvient du désormais célèbre « Il y a trop de quoi ? », jeté au visage interdit du président du CRAN qui se plaignait du manque de représentativité des personnes issues de l’immigration africaine dans les médias.
Cette injonction contradictoire fut révélatrice de l’inquiétante schizophrénie qui guette les membres privilégiés de ma communauté.
« Il y a trop de quoi ? » signifiait à la fois « dites-moi ce que je ne veux pas entendre » et « vous voyez bien que vous ne pouvez pas le dire, alors taisez-vous ».
C’est un spectacle pathétique de voir combien la sincérité d’un credo universaliste et républicain se heurte à l’ethos tribal et suprémaciste à l’intérieur d’un même individu, victime consentante d’une duplicité destructrice instillée par le rabbinat impérial.
Ainsi voit-on, depuis quelques années que glisse le masque, les visages de ces représentants de la communauté captivante se déstructurer, leurs bouches fuyant leur nez et leurs yeux s’agitant dans leur orbites en cherchant la sortie. Parkinson perçant sous Finkielkraut, BHL dont la bouche en cul de poule tente de fuir à l’anglaise pour se cacher de trop de mensonges, Élisabeth dont les globules azurés semblent chercher frénétiquement le précieux anneau de son Seigneur.
Voyez maintenant le visage de l’ogre de Yaoundé, notre pape noir de la haine : point de tics, nul tocs, on n’y distingue aucune trace de lutte interne, de contradiction, toute l’adversité lui vient du dehors. À méditer.
Toujours sur le registre d’un questionnement qui relève autant de l’inquiétude que de la menace, notre agitée du bocal républicain a donc exprimé ses inquiétudes quant à la stratégie adoptée par les autorités au sujet de Dieudonné.
Manifestement empressée de réparer l’énorme bourde du petit Klarsfeld ayant appelé au trouble à l’ordre public afin de justifier a posteriori l’interdiction des spectacles de Dieudonné rêvée par le ministre de l’Intérieur, notre hystérique barbeau national a tenté de sauver la face.
Ainsi, plutôt que de donner du goy à moudre à la LDJ, elle en appelle à ne plus s’en prendre au prétendu « antisémitisme » de tous ces jeunes qui suivent l’humoriste franco-camerounais mais à leur rejet du « système ».
Élisabeth Lévy est peut-être psychiquement instable, mais, contrairement au chevelu halluciné du barreau, elle n’est pas idiote.
Elle se rend bien compte que la stratégie qui consiste à traiter d’antisémites des millions de joyeux insoumis ne peut que se retourner contre ceux qui la suivent. D’où sa sortie sur France Culture :
« Il faut parler aux spectateurs de Dieudonné. (...) Comment avons-nous laissé s’installer l’idée qu’il était intelligent, raisonnable, admissible, respectable d’être contre le système ?
C’est sacrément con d’être contre le système... (...) On est dans un pays non-démocratique pour pouvoir s’opposer au système de façon aussi stupide ?
(...) C’est quoi le système ? C’est le système démocratique que nous avons collectivement adopté ? C’est quoi ? »
Madame Lévy, ayant pour ma part réservé une place pour assister au dernier spectacle de Dieudonné, je me sens autorisé à répondre.
Concernant la première question, puisqu’elle s’adresse à votre comité pastoral de direction de l’opinion publique, je m’en remets à votre for intérieur, hélas assiégé par l’angoisse de connaître la réponse.
Étant sacrément con, je n’ai jamais cru que ce système soit « démocratique », et encore moins qu’il ait été « collectivement adopté ».
J’ai plutôt tendance à y voir une monstrueuse mécanique nihiliste à l’œuvre, un projet en cours de destruction de la terre et de mise en esclavage des peuples, le tout soutenu par un réseau de mensonges spectaculaires auquel vous participez avec zèle et scrupules.
Et vous le savez.
À vous et à tous les juifs qui se posent en gardiens du système, je vous adresse ce message :
Renoncez à vos avantages, mettez vos performances pratiques et intellectuelles au service de la liberté et du bien commun et ne craignez plus la vengeance de vos maîtres.
C’est en renonçant à la peur, vous aussi, que vous serez sauvés.
Max Lévy "
http://www.egaliteetreconciliation.fr/C-est-quoi-le-systeme-22433.html
lundi 11 novembre 2013
RE : Les ponts entre «nouvelle» droite et antisémitisme soralien, une nouvelle preuve
Bonjour,
demande de validation d'un commentaire qui aurait pu être plus court
avant que je parte dans une envolée interminable caractéristique de
l'"ambi-vigilant" que je suis (ambivalence, vigilant) :
________________________________________________________________________
Bien
le bonjour,
D'abord
David L'épée n'est pas l'incarnation de la Nouvelle Droite et si
par hasard le dada de cette ND était de dédaigner la dieudosphère,
le jeune homme aurait tout le loisir de s'intéresser aux deux
mouvances.
Très
bon article, dense en contenu.
Le
rap, en train de devenir un bastion de l'antisionisme ? de
l'antisémitisme - cette maladie tirant ses origines des
diabolisations séculaires de l'église ?
Ceci
étant, en banlieue, l'antisionisme n'est-il pas de nature à porter
moins de chaos que le mélange peu engagent entre l'américanisme,
l'hédonisme et le matérialisme ? Il réconcilie pour des raisons
discutables, mais au moins il réconcilie. Il s'agirait ensuite de
manière pédagogique à apprendre la différence entre Israël
et gouvernement d'extrême droite israélienne (ce que, tiens donc,
Dieudonné et Soral font déjà, même si c'est confus et malgré des
spasmes monomaniaques récurrents).
De
manière générale, d'un point de vue pragmatique, cette tendance de
fond n'est-elle pas meilleure qu'un mouvement islamophobe dans le
sens où cela réunirait plus de Français contre un ennemi invisible
? L'entité sioniste, qui veut tout et rien dire, pourrait créer une
cohésion puis préciser sa signification. Cette signification serait
variable, le nazisme n'étant pas une fatalité... j'ai honte de le
rappeler mais certains en on besoin tellement ils disqualifient Soral
sans jamais apporter leur propre correction sur les sujets de fond,
je ne vise personne.
Il
n'y a rien de plus efficace qu'un ennemi commun pour
réconcilier. Pour ce faire, l'entité sioniste de Dieudonné mérite
une comparaison avec l'extrême droite de la main jaune "Touche
pas à mon pote".
Abstraite
et floue, il est plus simple de faire fantasmer avec l'entité
sioniste qui peut se manifester dans une très grande variété de
phénomènes nuisibles extérieurs au peuple.
Le
concept d'extrême droite comme ennemi commun fantasmé, lui, essaie
aussi d'être large pour nommer une grand nombre de phénomènes
réprouvés par les anti-réactionnaires mais devient de plus en plus
laborieux avec la crise sociale qui augmente la xénophobie ainsi que
l'inhibiteur intellectuel bienpensant (aucune opposition entre les
deux, c'est là ma spécialité). De plus, il a pour (terrible)
défaut de nommer un ennemi intérieur au peuple, ce
qui a pour effet de diviser ledit peuple.
Pour
ma part, et j'ai beau être juif (anti-Bibi) moi-même,
l'antisionisme est un mal pour un bien. Un bien que peu de personnes
apportent en ces temps d'inquisition civilisée où le moyen-âgeux
agit sournoisement en écran de fumée des impunités et des mauvais
choix économico-politiques de la part d'une variété d'acteurs...
il y a Ivan Segré ? et sûrement pleins d'autres que
vous devezconseiller à vos nombreux lecteurs pour être
crédible.
J'ai
très envie de dire que ce blog enjoué aurait infiniment plus de
classe s'il prenait soin de faire justice à ses cibles plutôt que
d'être perpétuellement dans Napoléon le Petit. Ne
soyez pas comme Victor Hugo péremptoire et obtus sur quelqu'un dont
je suis sûr qu'il avait des qualités et des effets positifs par son
action - un ambivalent. La pulsion monomaniaque d'Alain Soral que
vous avez en ligne de mire, comme quand il colle frénétiquement
l'adjectif "juive" en parlant d'Anne "Sinclair"
Rosenberg dans Dialogues Désaccordés, ce n'est ni un
péché mignon de grand-père, ni un motif de disqualification, c'est
entre les deux : une tare, un défaut majeur.
Salutations
________________________________________________________________________
Ca
fait des mois et des mois que nous discutons (bien que ma façon de
discuter ne soit pas très correcte vu que je disparais).
Vous
remarquez peut-être avec le temps mon utilisation de l'expression
"avoir tout le loisir de". C'est là où il y a une
liberté d'agir sans prendre de coup. Je veux que vous compreniez que
sans discussion critique à son sujet, le lieu de liberté peut
devenir lieu d'impunité.
Dans
un système libéral de type non régulé, les puissants (càd les
entrepreneurs en réussite), qui ne sont pas 100% à être concernés
par un comportement éthique et empathique, ont tout le
loisir d'exploiter les faibles : sans auto-régulation
citoyenne, on aboutit à terme à une loi du plus fort.
Dans
un système forgé et re-forgé sans relâche par la judéo-vigilance
et par l'effet démocratiquement castrateur d'une utilisation de la
Mémoire à des fins politiques, l'intégrisme et l'intolérance ont
tout le loisir
d'exister à partir du moment où elle se revendique des chambres à
gaz.
Les
Juifs ne sont ni un pauvre peuple victime sans raison de la
méchanceté intrinsèque du reste de l'humanité, ni un peuple se
revendiquant d'une idéologie basée sur la ségrégation volontaire
tout en se plaignant dans le même temps d'en être la victime : les Juifs sont à la fois victimes et responsables de l'intégrisme de leur
représentants, défenseurs et détracteurs historiques, de leurs
vices humains et d'erreurs humaines de l'ordre du trop-plein
d'auto-satisfaction identitaire – le sentiment identitaire n'étant
pas régulé par l'homme contemporain bien qu'il prétende au
cosmopolitisme, cruel paradoxe que voilà.
Sur
le plan théorique, en faisant l'erreur de prendre le Talmud au mot,
un intégrisme talmudien serait de nature à être dissimulé dans la
civilisation et composé de double éthique rusée, de mensonge &
de tromperie validés pour la cause de la tribu, etc, le tout dans le
but de diviser pour mieux régner jusqu'à en arriver à l'eschatologique guerre des civilisations décrite
par la rabin Rav Ron Chaya où le petit coq israélien regarde les autres coqs s'entre-déchiqueter.
Soral
décrit cela de façon judéophobe, càd en confondant intégrisme
juif et religion juive, et
les antifascistes comme vous, vous créez un espace d'impunité pour l'intégrisme, la tartufferie et le vice.
Qui
est le pire ?
mercredi 25 septembre 2013
L'extrême droite, moins rationaliste ? // Le soralien comme monstration de l'humain. // L'ambivalence des Lumières.
RE :
Un sous-Cantamessi ouvre son clapet puant
D'abord
sur l'antirationalisme de l'extrême droite, qu'entendez-vous par
cela, correspondant-fantôme ? Qu'elle va chercher les principes
de vie dans la tradition ou le folklore national ou régional plutôt
que dans la pratique de l'éthique entendue comme questionnement
rationnel de l'impératif hypothétique ? Mais l'obsession des
racines ne trouve-t-elle pas allègrement des équivalents
anti-rationnels dans les autres courants de pensée ? Vous le
savez bien, les manières de démentir sa volonté affichée de
rationalisme ne manquent pas, tout comme les manières d'être
rationaliste quand on est d'extrême droite.
Pour
utiliser d'autres termes : tout raisonnement trouve son
fondement dans une axiomatique arbitraire. Si la pensée d'extrême droite a son
axiomatique injustifiée, c'est aussi le cas des courants
prétendument supérieurement rationalistes.
Deux
notes sur Soral :
Premièrement,
Oui,
inlassablement, viscéralement, il emploie un vocable identitaire.
Il voit des Juifs, des WASP, des Français de souche, des Algériens,
etc, avant de voir des êtres humains – et de plus, il ne
redevient universaliste et humaniste que pour contrer un tribalisme
dont le judaïsme serait l'unique représentant comme le
prouveraient des écrits de l'Ancien Testament et surtout du Talmud.
Je
trouve cette façon de qualifier les humains grossière. Sa façon de
parler souffre de cette insuffisance commode qui est celle des gens
et qui consiste à voir des Juifs, des Corses, des Kabyles ou des
Chinois plutôt que des hommes. De mon point de vue, son discours en
est rendu alourdi et grossier.
Mais
il faut faire la différence entre le descriptif et le normatif.
Quand les gens disent, « les Arabes sont comme ceci »,
« les Juifs sont comme cela », « les Corses doivent
devenir indépendants », quand un Soral propose que « les
Chrétiens et les Musulmans fassent une alliance sacrée »,
etc, ils sont normatifs. Le fait est que : si Soral a cette
mentalité, la plupart des gens l'ont aussi, dont ses ennemis. On
peut donc penser à retirer une dimension descriptive des
discours de cet écrivain. Il s'agirait de constater que Soral est
viscéralement identitaire dans son vocable, et de se dire que les
« sionistes et soumis » qu'il fustige sont aussi
concernés par cette tendance naturelle, qu'ils ne sont pas forcément
capable de la surpasser et que donc une partie d'entre eux ont une
logique cognitive proche de cet homme.
Car
n'est-il pas vrai que les hommes se répandant souvent dans
l'exclusion, l'intolérance et le préjugé, quel que soit leur
sentiment d'appartenance, quel que soit leur livre des valeurs ?
J'ai nommé l'intégrisme, que j'entends comme une lecture simple
d'un livre des valeur quelconque qui permet la haine, l'exclusion ou
la violence.
N'est-il
pas sensible que des humanistes et des progressistes font
actuellement preuve de la plus grande des intolérance à l'égard de
concitoyens traditionalistes, régionalistes ou nationalistes tandis
que ces derniers ont eux-même tout le loisir de se complaire de la
tradition d'exclusion de l'autre qui est leur héritage ?
N'est-elle
pas parfois palpable, cette douce tendance à l'intégrisme laïcard
chez une Caroline Fourest ou un Vincent Peillon ? La Révolution
française, après n'avoir été que matérielle, doit encore
urgemment se faire dans les esprits, nous dit notre ministre de
l'éducation, clairement contre les religions, qui ont d'ailleurs
comme remarquable substance élémentaire la misogynie, au sens de la
féministe androgyne.
Quid
d'un Guy Millière et sa propension immodérée à l'intégrisme
néoconservateur hérité des doctrines Wilson et Bush ?
Imposer, par la force militaire et son lot de crimes injustes, à des
pays incapable de se défendre, sa propre vision de la démocratie,
n'est-il pas du même niveau intellectuel et moral que la démarche
démente d'un Ben Laden ?
Ne
sont-ils pas explosifs quand ils sont médiatisés, les intégrismes
sionistes derrière les actes de violence d'une Ligue de Défense Juive ou des prêches
de certains rabbins américains ? N'y a-t-il pas une possible
forme civilisée et larvée d'intégrisme juif ou philosémite
qui a tout le loisir de se glisser dans l'éthique et les mots des intellectuels, présidents
d'association, hommes politiques ou artistes qui sont concernés par
un fort sentiment identitaire ou un zèle à propos de la question juive
ou israélienne ?
Quant
aux intégrismes musulmans et chrétiens, pourquoi les commenter
alors que les médias n'ont déjà d'yeux que pour eux...
Pensons
donc à la dimension descriptive du soralisme : les ennemis
« sionistes ou soumis au sionisme » de Soral ont parfois sa propre
logique cognitive d'individu borné aux racines, une faiblesse humaine commode, populaire et intemporelle. De ce fait, ses ennemis ont tout
le loisir d'agir un peu comme il le décrit lui-même.
Deuxièmement,
Oui,
l'historienne Sigaut et Soral sont anti-Lumière, ce qui reviendrait
à fustiger certains progrès dont pourtant ils bénéficient et
vantent les mérites dans d'autres circonstances (contre la menace
rétrograde "sioniste" généralement). On vit avec ses contradictions.
Mais Soral fait plus que vivre avec ses contradictions : il a
plusieurs fois, en conférence, ou sur son canapé rouge, parlé en
terme d'ambivalence et de dialectique à faire concernant les Lumières et la
Révolution française, lui qui a l'habitude de se mettre dans des
pétrins où il doit sortir de son chapeau magique la complexité
d'un monde qu'il a lui-même simplifié.
En
effet, il explique à un public parmi lesquels comptent des
régionalistes, des royalistes et des libéraux de droite dure, qu'il
est jacobin, républicain et pro-fonctionnariat. Il fait l'éloge
d'auteurs hautement progressistes ayant soutenu la Révolution
française tels que Rousseau et défend l'héritage révolutionnaire
- généralement contre l'ennemi "sioniste" présenté comme tribal et
racialiste, donc rétrograde et dangereux.
Et par ailleurs, aux côtés de Sigaut, dans une grille de lecture
marxiste, il est virulent à l'encontre des Lumières présentés
comme les complices d'une révolution qui n'aurait été voulue que par
des bourgeois et qui n'aurait profité qu'à leur propre classe
sociale. Soral pointe du doigt ce qui serait un effet pervers majeur
de la Révolution française : une permission de la religion de
l'économisme, du scientisme et du progressisme, en offrant à ces
dogmes nouveaux, sur un plateau d'argent, tous les outils
nécessaires.
Après
avoir entendu sa critique massive de la Révolution française, on se
demande s'il ne préfère pas le catholicisme d'Etat à la république. Eh bien oui et
non car à l'humanisme catholique coexista l'Inquisition, il le sait
très bien et le dit. A la république : il dit oui et non ; au
catholicisme d'Etat : il dit oui et non. « L'anti-Lumière »
Soral n'est pas si « anti » que cela. C'est un
conférencier qui explicite de temps en temps l'ambivalence et la
dialectique (aux crânes rasés et aux banlieusards réunis), ce qui
en soi est plus un mérite qu'une tare, cela va de soi.
D'ailleurs à ce propos, il pourrait donner à Mézigue des leçons qui lui seraient bien utiles pour qu'il cesse de traiter ses concitoyens réactionnaires de façon si expéditive. Pas de démocratie possible quand on retire à un concitoyen son ambivalence.
mardi 17 septembre 2013
Ne pas s'enliser (mais savoir écrire aux rigides). Lys Noir, idéal syncrétique, Faurisson et retour à l'apologie de Soral l'ambivalent.
[Je
n'ai fait aucune promotion pour ce blog à l'exception d'un
commentaire supprimé chez Tatamoche. Je poste des pavés de
correspondance ici.]
Bien
le bonjour,
Vous
faîtes mine de me démasquer sur le fait que je serais l'auteur d'un
commentaire où il est question d'une démarche réactive vis-à-vis
d'E&R, me reprochez le terme de « bouder » et
prétendez que ce qui vous « caractérise en premier lieu est
l'inverse de cette attitude infantile ».
Je
vois mal comment il était possible de prendre l'usage du verbe
« bouder » comme autre chose qu'un boutade. En outre il
devrait apparaître clairement que j'ai utilisé mon compte Google,
ainsi que ma formulation usuelle « bien le bonjour »...
(et là, je m'abstiens de faire un commentaire sarcastique et un
jugement de valeur sur la personne, ce que vous faîtes
systématiquement tout en rejetant tout caractère infantile)
J'ai
donc toujours 19 piges et demi, suis toujours « Bonjour », suis toujours
intéressé par votre blog et dans le profit constant grâce à votre
activité régulière de passerelle sur internet. Je ne cherche pas à
me cacher, je n'en vois pas l'intérêt. Rien n'a changé. Ah si, un
détail : la volonté dorénavant d'éviter l'enlisement quand
je m'adresse à un correspondant qui fait dans l'exhaustif en
ratissant les messages entièrement et commente tout, qui ne décrypte
pas du tout dans les aléa sémantiques liés à ce qu'on a une
compréhension différente des mots et qui préfère exprimer des
constats sans concession sur le niveau de son interlocuteur plutôt
qu'apporter un contenu meilleur. Quant aux insultes sur les
différents blogs où vous commentez, elles ne sont souvent que des
garnitures, donc ne dérangent pas, mais je les vois bien remplacer
de l'argumentation dans vos jours de fatigue ; quoiqu'il en
soit, est-ce une qualité d'être dans l'insulte quasi-systématique ?
Ne
pas s'enliser.
Par
rapport à Lys Noir : je ne serais susceptible d'approuver la
phrase « Non, Breivik n'est pas un monstre » que si
j'étais certain qu'elle était purement descriptive, sans normatif -
politique, axiologique. La présence de normatif ferait d'elle une
apologie du crime.
Au
delà de la difficulté de certains de ces rédacteurs à accorder
les participes passés, ce webzine semble être un exemple d'une
certaine extrême droite cherchant à être plus globale que la
moyenne. On y constate un rejet de la logique du bouc-émissaire au
profit d'un ennemi qui est une tendance anthropologique du monde. Par
exemple, on pense comme d'habitude une tendance lourde à
l'indifférenciation des « androgynes en devenir » mais
qui ne débouche pas cette fois sur une Israël qui serait la seule
identité à ressortir de la masse grise au terme d'un projet de
« nouvel ordre mondial ». Non, cette fois, les
diagnostics, ennemis et solutions partiels sont regardés de haut par
un Lys Noir surplombant. Surplombant les divers ennemis traditionnels
de l'extrême droite mais aussi les mouvements les plus dérangeants,
impertinents ou dissidents à condition que ceux-ci désignent un
ennemi limité : ainsi une Marine Le Pen, un Taguieff, un Dieudonné,
un Finkielkraüt, etc, tous sont concernés car ils sont emphatiques
dans leur méfiance vis-à-vis de phénomènes comme le « sionisme
larvé » ou « l'islamisme rampant ». Ils ne
verraient pas plus loin que le bout de leur nez.
L'anti-modernisme
radical du Lys Noir le pousse à réprouver tout ce qu'il perçoit
autour de lui. Les dernières avancées de la technique et du
progressisme l'horripilent quand il constate l'ampleur des dégâts
qu'il leur impute, la dévirilisation de l'homme n'étant qu'un
exemple parmi tant d'autres, car monsieur est totalisant, et tout va
mal. (Espérons qu'ils s'exprimeront sur le mauvais usage d'une
technique contemporaine acceptée pour ce qu'elle est, sujet qui peut
être plus porteur qu'une anathème de la technique en soi ou
comprimée dans une période historique récente prenant en compte
l'actualité de leur propre dépression.)
En
regardant de haut les extrêmes droites, le Lys Noir prétend que le
combat a avoir n'est pas national, religieux, moral, politique,
économique ou autre. Il ne serait qu'anthropologique. Monsieur
cherche à être global et réculé mais il est aussi et surtout
réductionniste.
A
vouloir être global et réculé quand on est aussi incapable
d'optimisme et aussi intolérant à la vue du monde (bref, faible),
on n'a difficilement d'autres solutions à préconiser que le
nihilisme. A moins que ne ce soit qu'un opium, et que le coup d'Etat
militaire, lui, soit la solution envisagée puis chérie, car
« Messieurs, quoique vous fassiez après le coup d'Etat, ce ne
sera pas pire que ce qui se passe actuellement », pensent-ils
derrière le Lys Noir.
Or
il faut s'assurer de la justesse et de la justice de ses décisions.
Dans notre contexte post-libération où la violence est
consensuellement un dernier recours, le réductionnisme (ici,
anthropologique) n'a raisonnablement pas le droit de mener à la
violence – bien qu'il s'agisse d'une violence toute relative, les
militaires usant principalement de dissuasion pour prendre le pouvoir
puisque par définition ils détiennent le pouvoir absolu d'atteindre
à l'intégrité physique des autres. Il faudrait quelque chose
d'éminemment étayé, comme le nazisme, mais passé sous le crible
de la dialectique avec des concitoyens différents afin de purger les
erreurs morales et intellectuelles, contrairement au nazisme.
Pour
ma part je trouve chez ces gens-là des ingrédients pour mon
éclectisme et un passage pour mes dialectiques. Impossible de
critiquer la gauche sans l'apport critique de la droite et d'autres,
etc. Vous pouvez trouver cela aussi naïf et attendrissant que vous voudrez ; demandez surtout si vous êtes animé par une volonté de dialogue et de tolérance à l'égard de l'extrême droite non racialiste, non violente, non nazie... il y a en a même une qui n'est pas xénophobe, hé oui, prenons Egalité et Réconciliation en exemple ; classer cette coalition dans l'extrême droite est peut-être même arbitraire et facile.
J'y
trouve aussi une prise en compte du facteur ethnologique pour
expliquer les phénomènes humains. Certes, les clichés sont des
clichés. Mais quand vous êtes originaire d'une famille
traditionnelle correspondant à un vieux cliché et quand vous êtes
fidèle à l'éducation de vos parents sans être modifié par la vie
hors de la famille, eh bien vous finissez logiquement en cliché :
un Juif évoluant dans la cupidité et la ruse, un Arabe développant
un caractère rustre et fraternel, un Chinois bosseur et occupé dont
on n'arrive jamais à percevoir la vanité... Nous somme le fruit
d'une ontogénèse complexe, et la culture dont on est issu y joue un
rôle - variable. Or cette corrélation est devenu un tabou dans
notre pays, le phénomène étant celui d'une « bienpensance
anti-raciste ». C'est aberrant. Je trouve cela aberrant car on
n'a pas à mettre de côté les facteurs explicatifs qui nous
dérangent.
Comment
ne pas être interpellé par les propos décomplexés de la droite
dure (celle qui assument les traditions et s'y identifie) dans ces
conditions ? Afin que tout un chacun critique
sa culture, on passe par la droite dure, puis on n'a qu'à
critiquer les excès du sentiment identitaire blanc, européen ou
gaulois après être sorti de l'entretien avec ladite droite dure.
J'y
trouve également une verbalisation du sentiment identitaire
qui est l'un de mes sujets fétiches car les hommes de mon monde et
ma famille elle-même heurtent mon sens universaliste et cosmopolite.
Vous êtes peut-être de famille chrétienne, trotskiste ou autre
origine à l'universalisme facile ? Une famille dont la fierté, en
plus de ne pas être exacerbée, n'est pas constamment reliée à un
peuple à part. Eh bien la mienne de famille ne jure que par la
grandeur du Peuple Elu et des Terres Sacrées d'Israël. J'ai été
assez exaspéré de la manière dont les miens regardent les
activistes sionistes : journalistes, financiers,
intellectuels, artistes, hommes politiques et présidents
d'associations vus comme des êtres de chair exploitant au mieux le
pouvoir de réaliser une eschatologie comme il y en a dans
l'imaginaire de toute famille religieuse. Je le vis bien, ça
m'apporte du grain à moudre, mais bon voilà : il est malsain
d'aduler le « progrès de l'humanité » quand on ne le
comprend que (ou surtout) comme un progrès pour sa propre
tribu. Cela s'appelle du tribalisme, et c'est dérangeant pour les
personnes comme moi qui recherchent un universalisme non pervers et
qui sont potentiellement très attirés par la fondation d'un bon cosmopolitisme
- qui est loin d'arriver car le capitalisme mondialisé est très mal
régulé et porteur d'une inégalité record. Je vois ma propre
famille comme un symptôme d'un phénomène d'ampleur mondiale
(dénoncé par Dieudonné sans les nuances nécessaires), qui ne
concerne que quelques citoyens de notre monde, mais des personnes de
pouvoir, ce qui signifie que leurs faiblesses ont pour effet
d'affaiblir le monde. Il s'agit de philosémites de pouvoir concernés
par « l'amalgame Crémieux » : pour faire simple, la
pathologie qui te fait confondre idéal universel et idéal
rabbinique, l'un est l'autre, l'autre est l'un... t'as beau être sincère, t'es atteint. Il faut te
soigner. Par la dialectique, mais tu es comme tous les autres :
tu n'en veux pas de la dialectique. Parce que tu te laisses
constamment aller à l'antagonisme avec des concitoyens qui sont par
définition tes adversaires dans le jeu démocratique et qui n'ont
pas de bonne raison d'être tes ennemis alors qu'ils le sont tout de
même. Tu
es humain - trop humain - c'est tout - mais comme tu as le pouvoir, tu
es pire que les autres puisque tu pèses sur l'ensemble des citoyens du monde.
C'est
pour cela que mes origines me poussent vers des approches
judéo-critiques comme celle d'E&R. Heureusement, en continuant à
dialectiser avec les contraires, j'ai compris que Dieudonné et Soral
étaient ce qu'il était judicieux d'appeler des « confusionnistes »
ne cherchant pas tant que cela à chasser le racisme anti-Juif
constamment alimenté par l'infinie bêtise humaine derrière
l'antisionisme contemporain affiché.
Pourquoi
les Juifs ne prennent-ils pas d'aspirine ? Parce que ça enlève
la douleur ! Cet humour (juif) fait de vous un antisémite
aujourd'hui, donc quelqu'un que l'on condamne, c'est tout.
Cher interlocuteur Mézigue/Tatamoche, vous prenez peut-être en compte l'influence de l'abus philosémite parce que vous n'êtes tout de même pas aveugle, mais alors, sauf exceptionnellement chez Paresia en 2010 et en mentionnant Segré et Bensaïd récemment, vous ne l'explicitez pas. Et certainement pas sur votre propre blog, sûrement parce que vous êtes lu par des tribaux à la fierté mal placée de JSS, dont voici un exemple d'intégrisme savoureux, allègrement validé par la modération :
Cher interlocuteur Mézigue/Tatamoche, vous prenez peut-être en compte l'influence de l'abus philosémite parce que vous n'êtes tout de même pas aveugle, mais alors, sauf exceptionnellement chez Paresia en 2010 et en mentionnant Segré et Bensaïd récemment, vous ne l'explicitez pas. Et certainement pas sur votre propre blog, sûrement parce que vous êtes lu par des tribaux à la fierté mal placée de JSS, dont voici un exemple d'intégrisme savoureux, allègrement validé par la modération :
Marrant ce Joh-ananas.
Je trouve dans l'ambiance de droite dure et chez Dieudo une possibilité de me moquer des Juifs, des Arabes et des Noirs puisqu'avoir une conversation avec un membre d'une droite dure implique d'être libre du politiquement correct qui est un inhibiteur moral et intellectuel extrêmement puissant recourant à l'auto-censure qui créé un manque de dialogue global, des incompréhensions mutuelles, des impunités insupportables, bref une situation kafkaïenne qui devient de plus en plus difficile à verbaliser sans stigmatiser qui que ce soit. J'aime parler sans concession des cultures, avoir de l'humour corrosif sans mauvaise intention, avec une bienveillance humaniste et universaliste car il est pour moi axiomatique que nous sommes des êtres humains avant d'être Français, Juif, Corse ou autre. Bienveillante pour ma part, en espérant qu'il en aille de même pour ce concitoyen d'extrême droite à la sensibilité modifiée à sa façon, probablement raciste, mais jusqu'à quel point ?
Je trouve dans l'ambiance de droite dure et chez Dieudo une possibilité de me moquer des Juifs, des Arabes et des Noirs puisqu'avoir une conversation avec un membre d'une droite dure implique d'être libre du politiquement correct qui est un inhibiteur moral et intellectuel extrêmement puissant recourant à l'auto-censure qui créé un manque de dialogue global, des incompréhensions mutuelles, des impunités insupportables, bref une situation kafkaïenne qui devient de plus en plus difficile à verbaliser sans stigmatiser qui que ce soit. J'aime parler sans concession des cultures, avoir de l'humour corrosif sans mauvaise intention, avec une bienveillance humaniste et universaliste car il est pour moi axiomatique que nous sommes des êtres humains avant d'être Français, Juif, Corse ou autre. Bienveillante pour ma part, en espérant qu'il en aille de même pour ce concitoyen d'extrême droite à la sensibilité modifiée à sa façon, probablement raciste, mais jusqu'à quel point ?
J'admire
l'auto-dérision, saine qualité à condition qu'elle ne soit pas là
pour combler un déficit d'amour propre. Elle est vecteur
d'auto-critique. Je pense que celui qui a à la fois de
l'auto-dérision et de l'amour-propre a un certain mérite. Ce n'est
pas donné à tout le monde. Il y a des Juifs qui regardent Dieudonné, monsieur, et des rabbins qui le soutiennent, et ceci est parfaitement cohérent.
Bon...
j'y trouve surtout des thèses aussi réductrices que chez tous les
autres. Ainsi le constat du partiel, de l'incomplet, de l'exclusif,
de l'intolérant provoque-t-il chez moi une volonté de syncrétisme,
d'éclectisme, de dialectique entre les différents - recette à
laquelle la créativité et l'innovation ne sont bien sûr jamais de
trop, et même plus que cela. C'est pourquoi je suis très tolérant
à la différence, peut-être excessivement.
A
propos de ma tolérance douteuse, j'aurais besoin d'argument moraux
contre la pratique de la mise en question sérieuse d'un génocide ou
d'un autre par un historien. En effet, si je comprend l'immoralité
d'un déni arbitraire, je ne réprouverais par exemple un Faurisson
que s'il avait d'une part manqué de sérieux et d'intégrité dans
sa démarche, et que d'autre part il l'avait fait dans l'intention de
dénier le génocide tel un gauchiste avec l'insécurité des
banlieues. Ceci est difficile à prouver sans sombrer dans le procès
d'intention qui est un sophisme à éviter absolument. De nombreux
travaux ont été effectués à ce sujet par des historiens
fonctionnaires d'Etat car l'émotion est un stimulateur. Ceci étant
dit, je ne sais pas la part de procès d'intention dans ces travaux
purement réactifs. La loi Gayssot discutablement appliquée aux
historiens participe d'un confusionnisme entre Histoire et mémoire.
D'ailleurs vous-même écrivez « Histoire », « Mémoire »
et « Loi », comme atteint d'une majusculite. Cette
trinité en majuscule n'est pas forcément anodine, ressemblant à un
symptôme de parti-pris philosophique et politique. Ne croyez-vous
pas que Kant avait la majuscule facile avec des termes comme « Loi »
parce que cela créait un contexte plus favorable à une éthique de
type déontologiste plutôt que conséquentialiste ? Une proposition
éthique annexée à la morale traditionnelle religieuse et son
propre souvenir,
son principe de précaution, sa
crainte du païen récalcitrant... je lie cette remarque à ce que la
précaution
à l'égard de la montée fasciste, ce n'est pas ce qui vous manque.
Mais je pense que la position la plus sage est celle qui, telle une
IA, prendrait en compte toutes les meilleurs précautions en même
temps. J'ai obtenu celle de la réaction philosémite avec Soral
(plutôt qu'avec Segré), j'obtiens celle du fascisme avec vous.
Soral
est-il l'Ivan Segré du petit peuple ? Que dîtes-vous ?
J'insulte Ivan Segré ? Alors faîtes sa promo ! Il est
important d'être populaire et accessible quand on est un
intellectuel intègre et de qualité s'exprimant sur un sujet très
grave ; l'enjeu peut être d'empêcher la montée du fascisme, sujet qui vous transforme en véritable lanceur de noms d'oiseaux comme on peut le voir sur le blog tatamoche. Segré n'est pas populaire. Doit-il donc
le devenir ? J'imagine. Car, et je vous le dit depuis le début,
les gens ont besoin d'être aidé à verbaliser les problèmes (ce
que les médias font très bien sur les sujets qu'ils décident),
parmi lesquels les quelques débordements philosémites. C'est pour
cela que depuis le début je vante certains mérite de Soral. On ne
peut pas le jeter à la poubelle, à moins de le remplacer. Peut-on
raisonnablement défendre un scénario où l'on n'aurait personne
pour verbaliser l'abus philosémite manifeste ? Cela relèverait
de la soumission à l'idéologie de certains puissants dans un cadre sensé être neutre et démocratique, de l'intégrisme juif façon johananiel sur JSS (Joh-ananas de son petit nom), de l'égoïsme national à l'échelle d'un bout de diaspora israélophile, d'un esprit débile
et obtus dégoulinant de vanité... Le bon sens préconise des scènes démocratiques, dans les différents pays, où le travestissement de la république censée être au dessus des communautés, le zêle judéo-protecteur et la réaction philosémite excessive sont critiquables et critiqués, sinon bonjour l'impunité de certains. Alors comment
expliquer votre mutisme à son égard, cher Mézigue ? Par
ailleurs, qu'est-ce que vous avez à répondre si je prétend que ce
dernier paragraphe est un propos sur Soral que j'ai répété depuis
le premier de mes messages ? Va-t-on enfin avancer cette fois ?
Ou s'enliser encore ? Allez-vous enfin comprendre que le blog tatamoche sera vain tant qu'il ne construira rien sur les ruines des bouffons (votre compte rendu sur Ivan Segré est un premier pas) ? que vous soyez si informé et qu'il ait fallu attendre l'été 2013 pour que vos lecteurs apprennent ou se rappellent l'existence de Bensaïd et Segré, n'est-ce pas une preuve que vous ne forcez pas du tout sur la constructivité alors que vous en êtes parfaitement capable, "Votre Indolence" ?
J'ai
sûrement oublié des trucs, mais bien à vous.
samedi 17 août 2013
De l'amalgame Crémieux.
Je
crois comprendre à quel point je mérite l'étiquette de
« robino-soralien » : avec l'acharnement d'un Robin
perturbé par l'idée qu'il se fait du tabou nuisible, je fais du
soralisme hypothético-déductif. Mais par « robino-soralien »
on peut aussi entendre « personne qui ne sait pas de quoi elle
parle mais dont la naïveté concerne un sujet proscrit sur le blog
de Mézigue, et qui a l'intolérance moins facile que ce
judéo-sensible ». Parce que je pense qu'il y a un peu de ça.
« @
FabriceCyborg Vous n'avez rien à dire contre ce que dit de VRAI
Shadam alors vous l'attaquez sur sa façon d'exposer ses idées. Vous
êtes un minus, un lâche et un crétin ... Comme votre guru ... Et
vous êtes également (en plus) un larbin ...
Quant
à dire que la grande brêle est "à l'écoute de tout vu qu'il
ne refuse JAMAIS d'être critiquer". J'espère que vous
plaisantez ...
PS
: Vous qui donnez des leçons de français, feriez mieux de vous
relire avant de poster ... »
Ma-gni-fique.
Remplacez cet invraisemblable Shadam par un « dérangé » :
moi-même, et appliquez la phrase à Mézigue qui manifeste
tellement de difficulté à suivre les judéocritiques et
antisionistes dans une tentative
hypothético-déductive qu'on en vient à penser que
c'est un zêlé judéo-protecteur.
Mézigue
fait preuve d'un militantisme offensif parce qu'il est loin d'être
insensible aux phénomènes qui entourent E&R et la
Dieudosphère : culte du chef, antisémitisme refoulé, etc.
Constatant cela, rigoureusement parlant, qualifier de mépris son
attitude à l'égard des bouffons qu'il lynche dans un blog -dont il
fait la promotion sur Youtube- est faux. Il ne méprise pas aussi
bien que d'autres, sinon il ne répondrait ni à Soral, ni à Robin,
ni à un crétin aléatoire comme beni6768,
épisode dans
lequel on peut apprécier son goût pour la raillerie. Mézigue
doit bien être heurté dans sa conception de la république. Pour
lui il y a quelque chose qui ne doit pas se faire parce que c'est
dangereux et aussi sournois que la montée d'on-sait-quoi en 1930. Il
est tout à son honneur de le dénoncer et, espérons-le, d'accepter
qu'on puisse critiquer son zêle judéo-protecteur de vierge
effarouchée à la moindre mention du tatouage de Wiesel. On dénonce
l'antisémitisme et on n'utilise pas des prétextes pour se voiler la
face sur ses propre défauts...
Dangereux
et sournois, le phénomène E&R et Dieudosphère. Exactement
comme ce que je le dénonce ailleurs, mais, semblerait-il, « je
ne sais absolument pas de quoi je parle » quand j'évoque
l'hypothèse d'un sionisme comme phénomène non-religieux bien que
lié au judaïsme...
Heurté
le monsieur, consterné par un phénomène du net. Dans le même
temps, il me conseille d'oublier la télévision pour m'informer. Il
a raison mais ce n'est pas la question : il se fait que la
télévision, ainsi que le PAF et la presse, présentent des
dysfonctionnements qui ne me laissent pas insensibles. On est donc...
dans le même cas. Heurté dans notre citoyenneté. Heurté dans une
aspiration à une société républicaine et sereine qui a le pouvoir
de servir de carburant à une dénonciation énergique.
Reste
à comprendre que si les petits soraliens peuvent perdre leur
sérénité et créer une société dangereuse, il en va de même
pour les judéophiles. Tout un programme...
Hypothèse
(hypo-thèse)
:
Consciemment
ou non, les zêlés judéo-protecteurs couvriraient ou soutiendraient
une pulsion communautaire qui a lieu chez des personnes de pouvoir
qui sont proportionnellement nombreux à être Juifs dans les plus
haut postes, fait sociologique qui dérange encore plus que les
musulmans dans les prisons. Pulsion communautaire qui influe sur les
décisions dans le sens d'idéaux rabbiniques ni verbalisés ni même
conscients (quoique) mais cohérents avant la culture du progrès.
Exemple : radicalisme larvé d'une destruction de Rome (le
Quatrième Empire, l'Occident) qui peut prendre une échelle
civilisationnelle et symbolique avec le Mariage pour Tous, ou bien
créer un conflit de civilisations comme le métaphorise Rav Ron
Chaya quand le petit coq profite d'une victoire entièrement due au
combat à mort des autres volatiles – excellente personne sans
tabou qui raconte aussi comment et à quelle fréquence historique
les Juifs sont rejetés des nations, cours d'Histoire purement et
simplement antisémite au yeux de notre obscurantisme.
En
effet, en tant que détenteur de pouvoir dans le monde associatif,
politique, économique, financier, bancaire, journalistique ou
artistique, j'influe sur le sens que prend le monde et mon pays.
J'influe
vers un modèle républicain respectant les droits de l'homme, ce qui
implique logiquement la prospérité du peuple juif. Je peux aussi
influer vers la prospérité du peuple juif... ce qui implique
logiquement un modèle républicain respectant les droits de l'homme.
Ainsi
suis-je dans cet état d'esprit digne d'Adolphe Crémieux rédigeant
l'Alliance
Israélite Universelle dont les principes ont été résumés dans
la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.
Cet état d'esprit où je suis susceptible d'annoncer à l'envie sur
les plateaux mon
attachement inconditionnel à un Israël tirant profit du« printemps
arabe », intouchable
grande nation dont je
serais avec plaisir le représentant de la tribu.
Je
suis dans cette période de ma vie où aucune de mes actions majeures
n'échappe à l'oeil prudent du CRIF auquel je suis invité
régulièrement, CRIF qui ne manque pas de noter avec sévérité mon
investissement « contre l'antisémitisme » et dans le
soutien du peuple juif.
Je
suis dans cette période de ma vie où je suis invité à Bilderberg,
emblème absolu du progrès, pour connaître les orientations
idéologiques les plus commodes et rassurer mon auditoire sur ce que
je ne suis pas venu en touriste. Rien ne me force à ouvrir les yeux sur la cohérence manifeste entre le fantasme d'un atlanto-sionisme
et l'échange d'idées libre et décent que j'y ai expérimenté.
Je
suis dans... etc, tellement d'exemples qui appellent la suspicion.
J'ai un salaire après tout, j'y tiens.
Dans
cette période de ma vie où au contraire d'avoir un recul analytique
ou contemplatif j'ai la tête dans le guidon, je ne fais plus
vraiment la différence entre l'idéal rabbinique et l'idéal humain.
Ma
pensée est à l'image de ma personne médiatisée : je ne suis
pas limpide, je suis trouble, et on a raison de se questionner sur
moi dans le cadre démocratique que je partage avec mes adversaires
et mes ennemis. Ce même si ces derniers sont des chefs de secte
imposteurs ou artistes monomaniaques – dans mes meilleurs moments
de rhétorique, je suis moi-même un génie de l'amalgame.
Et
je n'ai pas à profiter du zêle de Mézigue et autres
judéo-sensibles usant et abusant de l'arme verbale de l'
« antisémitisme » ou du « complotisme »
pour esquiver les
problématiques que j'ouvre de par mon propre comportement.
Retour à la réalité. Il y a quatre types d'intégrisme dans ma tête de jeune étudiant : néo-conservateur, musulman,
chrétien et juif. La plupart des personnes religieuses restent
spectatrices devant le processus eschatologique auquel elles croient :
un jour l'antéchrist ou al-dajjâl arrivera, il sera comme-ci, comme-ça, bla bla bla, beaucoup de transcendant qui vient expliquer un peu
d'immanent. Les Juifs ont juste cet avantage ou cette malédiction :
être spectateur des leurs ; avoir d'immanents intégristes au pouvoir
encouragés par le système à réaliser leur prophétie. Sans vouloir
raconter ma vie, chaque jour qui passe où je suis à la maison
plutôt qu'à la résidence universitaire, chaque JT, ma famille se
réjouit du train que prend la France et le monde (sans jamais pour
autant quitter la culture de l'auto-victimisation perpétuelle, bien sûr),
ce qui me laisse toujours un goût amer quatre ans après ma crise
d'adolescence parce que pendant que le monde entier s'uniformise sur
absolument tous les plans, eh bien là bas, dans les Terres Sacrées, il n'y
a pas grande place pour le multi-culturalisme et le
black-blanc-beur...
RE : Dieudonné est-il «sympathique» ?
C'est
fou ce que l'oligarchie du monde associatif, politique et
journalistique et la société qu'elle veut bâtir autour de ses
fantasmes oublie vite la charge de la preuve quand il s'agit de
sonder le cœur des gens – des sorcières qui sont les cibles de la
vindicte oligarchique & qui sont destinées au bûcher.
Comme Weil le dirait : je trouve que vous allez très loin sans aucune
preuve. Que dire de Faurisson qui a nié les accusation de
négationnisme et d'antisémitisme, et qui s'est présenté comme
étant un historien travaillant sans apriori et en accordant au récit des vainqueurs de Nuremberg la valeur qu'il mérite selon lui ?
Pour
montrer un négationnisme chez lui, il faudrait mettre en lumière
des procédés fallacieux et prouver l'intention négationniste les
motivant.
Après
cela, comment prouverait-on qu'il est antisémite ?
L'antisémitisme est une hostilitée
manifestée à la race juive et érigée parfois en doctrine ou en
mouvement réclamant contre les juifs des mesures d'exception (voilà
une bien meilleure définition que celle de Taguieff à mon goût car
cette dernière telle que citée par Mézigue ne fait même pas
référence aux Juifs !).
Autrement dit, c'est un procès d'intention si on l'applique à
Dieudonné ou Faurisson. On remercie Weil qui a raison de nous recadrer. Ouf !
Réponse point par point à un correspondant. (vous me dîtes qd je peux supprimer les précédents billets)
« son
usage inconsidéré du mot sémantique qu'il associe d'une façon
loufoque à des mots relevant soit de jugements de valeur, soit de
considérations psychologiques voire psychiatriques (hystérie,
folie, aberration, etc) - »
→
Voilà
ce que j'appelle une véritable réponse sur le fond - à son état
non développé. C'est une remarque fine mais j'espère que vous
déconnez l'ami. Quand le sens des mots change, l'influence sur le
jugement de valeur ou sur la réaction psychiatrique est à quelques
années lumières d'être négligeable. C'est serait passer outre
l'influence du langage sur la pensée.
Evidemment
que la facilité à avoir le verdict « antisémite »
dépend d'une pluralité de facteurs dont la largeur du sens que l'on
a du mot. « Haine vis-à-vis de X » étant plus large que
« haine vis-à-vis de X et volonté lui porter atteinte »,
on est plus susceptible de pouvoir utiliser la première définition
pour qualifier quelque chose.
« le
fait aussi de son appel à une intellectualité amorale ! »
→
Mais
vous n'êtes pas amoral, monsieur Tamamoche, et ce n'est pas anodin.
Vous avez eu une réaction émotionnelle au sujet de Wiesel et vous
avez plus de mal à considérer l'abus israélo-phile que la
légitimité israélo-phile ; vous refusez de faire un seul petit tour de
manège avec l'hypothèse pessimiste. Or, juger avec justice et
justesse Dieudonné, Soral et les interlocuteurs dont la naïveté
« antisémite » vous irrite, suppose d'avoir la bonne foi
et la bonne volonté de les suivre dans des raisonnements
hypothético-déductifs qui ne vous coûteraient rien et vous
honorerait.
Quand
il s'agit de votre « sujet de prédilection », vous êtes
systématiquement vindicatif, offensif, porté sur l'ad
hom, n'hésitez
pas à être vulgaire et trollesque dans certains contextes et
êtes légèrement activiste (Youtube). La problématique dont il est
question est quelque chose qui vous irrite (à raison) et je ne pense
pas nager en plein délire en pointant un manque de sérénité non
assumé. On sent la brutalité sous-jacente d'un dogme.
Et
dans le même constat, Votre Indolence, permettez-moi de
diagnostiquer une malheureuse majusculite chez vous, qui a pour
symptôme la trinité : Loi, Histoire, Mémoire.
« ou
encore le fait - preuve de son incapacité à un raisonnement
logique le plus élémentaire - de «déduire»
(!!!) que de ce que ne parlant que de deux bouffons en particulier
(Il n'a manifestement pas compris pourquoi je parlais de
ceux-ci en particulier), je ne serais pas capable de voir qu’il
existe bien d’autres bouffons par ailleurs, etc, etc, etc »
→ C'est
totalement faux. Je prétend qu'il semble y avoir, de manière plus
vraisemblable sur les sujets les plus chauds comme Wiesel ou la
Shoah, une réaction dogmatique où parler de bouffonnerie vient
masquer une quantité de jugement moral plus importante que vous
voulez bien le faire penser.
En
effet, pour avoir une appréciation éclairée de vos sujets-cibles
(Soral, Robin, extrême droite, montée de l'antisémitisme, etc) il
faut les articuler dans leur contexte (comme j'essaie de le faire et
comme Paresia le fait BEAUCOUP plus facilement que vous). Ceci
implique de parler d'avantage des autres bouffons, d'insister sur la
bouffonnerie des hommes & coalitions influents, de leur donner un
rôle bien plus grand dans vos analyses. Se focaliser sur deux
punching ball nommés Soral et Robin apporte une réflexion touchée
par la grâce de l'autisme, dans une bu-bulle.
« Il
ose citer Primo Lévi (qu’il écrit aussi Primo Levy …) en
défense de son «raisonnement» boiteux et infantile. »
→ Votre
Indolence, si je puis me permettre, vous avez omis d'émettre un
commentaire.
En
tout cas je pense qu'il est totalement stupide d'ériger en tabou les
pêchés mignons inculqués par maman et papa. Pas vous ?
« Il
serait fastidieux de relever toutes les touchantes naïvetés et/ou
bêtises qui s'étalent à travers son long texte brouillon (Comme
celle de parler d'émission "d'information" à propos de
celle de Taddéï alors qu'il ne s'agit que d'une sorte de salon
people à prétention intellectuelle) »
-->
Non, c'est un talkshow, je n'ai jamais confondu les deux.
« mais
je crois qu'il faut particulièrement souligner celles que l'on
trouve dans ce qu'il croit être une réfutation de ma courte
définition du
racisme et de l'antisémitisme (Ce qu'il appelle ses
"interprétations" 1 et 2) . »
-->
Très cocasse. Votre
définition ne fait même pas référence aux Juifs !
J'ai mieux : l'antisémitisme est une hostilité manifestée
à la race juive et érigée parfois en doctrine ou en mouvement
réclamant contre les juifs des mesures d'exception.
« J'ai
alors immédiatement penser, en lisant ses sottises, à ce "goût
des généralités" (On en trouvera une multitude d'exemples
ci-dessous dans ses commentaires) dont parle la
sociologue Nathalie
Heinich dans
son livre sur la bêtise »
-->
Je n'ai pas cru comprendre qu'Heinich attaquait les tendances à
concevoir une pluri-détermination des phénomènes, une interdiction
de chosifier les phénomènes et une façon probabiliste d'aborder
l'influence de la culture sur le comportement individuel ou
collectif. C'est pourtant ce qu'on voit chez moi ; je suis donc
sain et sauf ? Je ne suis jamais partisan, je suis toujours
dialectique et éclectique, apprenez à lire. Soral est une merde qui
apporte aussi choses des intéressantes. Gandhi a tendance à
éjaculer sans le faire exprès sur des mioches et pourtant il garde une aura
morale de vieux sage de confiance.
Quand
j'écrirai sur Attali et Millière vous comprendrez (ou pas).
« Les
lecteurs les plus attentifs pourront toutefois noter que ce qui
semble, dans un premier temps, être sa foi renouvelée en la
solidité intellectuelle de ce que raconte son guru (Il remercie
Soral pour ce qu'il fait de "salutaire", sic !), ou
ex-guru, semble, en fait, plutôt vacillante (Malgré - mais
d'une certaine manière parce que - qu'il termine par des
remerciements et le renouvellement de son allégeance au groupuscule
sot-raëlien). »
-->
Attention ! Vous apparaissez binaire ! N'oubliez pas
l'ambivalence de toute chose et de tout homme. La valeur que
j'accorde à Soral n'est que relative au manque d'intégrité et
probité que je crois estimer quand j'essaie de faire confiance en
l'information en France (PAF et presse, toujours la même rengaine).
Sans vouloir me répéter, je me dirige alors vers qqun de pas mieux,
mais qui constitue une étape de la dialectique.
Comme
vous l'avez dit : il n'est pas facile de s'affranchir du PAF au
profit des livres exclusivement. Mais il faut comprendre les gens qui
sont dans mon cas, et les conseiller au lieu de les rabaisser. Soral,
lui, il conseille de lire, et les banlieusards qui commandent
l'Histoire de France de Bainville grâce à lui sont les mêmes qui
sont simplement qualifiés de pauvres crétins par vous.
Quant
à internet je commence à avoir un petit carnet d'adresse grâce à
vous. C'est aussi pour ça que je poste. Je n'investis pas de temps
si je ne gagne rien en retour. Mes conneries me redirigent vers des
articles par le biais de Votre Indolence. Nul intérêt à faire des
guerre d'égo, ce n'est absolument pas mon sujet.
« Entre
autres imbécillités notables l’auteur du blog indiqué ci-dessus
cite Fréféric Delorca parce qu’il croit que je m’opposerais à
lui du fait de ce qui serait chez moi une sorte de sionisme militant
(Dans son monde infantile si l’on n’est pas antisioniste, au sens
où il l’entend, on est forcément pro-sioniste ; ce de la même
façon que si l’on dénonce l’antisémitisme on est forcément
philosémite) »
-->Vous
ne vous opposiez pas du tout à Delorca, qui a fantasmé ce truc çà
part vous ?! J'ai juste lancé que la phrase « Le sionisme pose
un problème moral au monde comme d'autres formes de (néo)
colonialisme » serait passé ric rac sur votre blog. Ne me
faîtes pas dire ce que je n'ai pas dit, enfin.
Ensuite
dans mon monde il y a ceux qui ont une vision idéologique du monde,
ceux qui s'efforcent de voir la complexité du monde et enfin ceux
qui s'efforcent de voir la complexité du monde et des facteurs
d'influence de leur jugement. Cette phrase à vomir stylistiquement
corrigera votre diffamation. Je veux bien croire que vous intégrez
la 3e catégorie et que je sous-estime le danger du phénomène
crypto-hitlérien autour de Soral, mais veuillez considérez
l'hypothèse que l'on puisse l'écouter sans sombrer dans la haine
d'un peuple dans son ensemble. C'est possible. D'autant plus avec
l'aide de l'autorégulation des membres d'E&R. Bien des membres
ne souhaitent pas passer pour des cons nazis et font les « grands
frères » dans les rangs virtuels d'E&R et sur Youtube.
Mais la
montée est logiquement difficile à éviter :
« On
peut retirer à Soral les titres qu'il se donne abusivement mais il
restera un écrivain engagé, un « artiste » comme le
qualifiait Dieudonné.
Un
artiste qui pousse des citoyens de familles chrétiennes, musulmanes,
athées ou même « juives du petit peuple » (Soral
appelle les
Karaïtes du
XXIe siècle à le rejoindre) à
lire des livres pour acquérir une conscience politique que la
société de consommation est loin de leur apporter. Il est
bouleversant de voir ces banlieusards dévorer des pavés sur
l'Histoire de France parce qu'ils y ont été motivés par un
mouvement politique dont la franch(ouillard)ise n'a aucun égal.
Un
souci étant que parmi ces ré-éditions se trouvent des bouquins
expliquant et justifiant l'antisémitisme. Ainsi beaucoup de lecteurs
sont poussés à avoir dans l'idée de lutter contre l'envahisseur
juif... ça y est, je l'ai dit : les ré-éditions de Kontre
Kulture et le phénomène constaté chez les sympathisants est
comparable à un phénomène années 30 qui dément la prétention de
Soral de ne dénoncer que le débordement juif. L'homme dans sa
bêtise transforme « débordement juif » en « juif »
par paresse dans l'expression orale ou écrite, tandis qu'il n'est
pas aidé par la tendance de Soral au glissement sémantique et au
confusionnisme. Il suffirait pourtant à ce dernier d'éduquer son
public au danger de l'antisémitisme, mais comme il s'appuie sur ce
sentiment pour vendre... »
Peut-être
que les orateurs & écrivains polémiques comme Dieudonné,
Ramadan, Soral, Zemmour, Obertone ou M. Le Pen ont le devoir moral de
rappeler des pontifes humanistes essentiels comme l'abjection et
l'inacceptabilité du racisme en guise de compensation au trouble qu'ils provoquent - quand ils
n'en ont pas aussi l'obligation pragmatique. Mais tirer sur la
liberté d'expression n'est pas quelque chose de facile. Nous pouvons
être heureux de vivre dans une démocratie où seul
l'anti-impérialisme confusionniste est unanimement censuré. Je
dénonce la grossièreté de cette censure et l'estime capable de
bien pire dans le futur. Il ne faudrait pas que par excès de zêle
on censure un nouveau duo du style Négri &
Hardt qui étaient rigoureux dans l'anti-impérialisme très
généralisant, ou un nouveau Dieudonné sans les provocations très
politiques, très douteuses et peu drôles.
« Que
vous utilisiez le conditionnel ou pas ne change pas le fait que ce
grossier artifice rhétorique qui consiste à prêter à une tierce
personne ses propres pensées invalide, de fait, cette partie de
votre commentaire »
« Très
simple ! Je ne vois pas l'intérêt à ce que, sur mon blog,
vous exposiez à nouveau les débilités idéologiques de Dieudonné
à propos de ce qu'il appelle le "sionisme". Vous comme
lui ne
savez tout simplement pas de quoi vous parlez.
A la limite un antisémite conséquent comme Hervé Ryssen est plus
honnête (et certainement plus intelligent ...) qui ne raconte pas
n'importe quoi à ce ce sujet. »
→ Sauf
que s'il s'agissait d'une naïveté simplement libérale ou
écologiste, je n'aurais pas été censuré/refusé, si ?
N'y
a-t-il pas des « grossiers artifices rhétoriques » à
deux vitesses et des naïvetés à deux vitesses ? Réfléchissez
avec auto-critique, ENSUITE répondez. Merci.
Vous
à Zénoni comme à votre habitude : « Je
répète qu’il faut être soi-même bien peu cultivé, donc souvent
jeune, pour trouver qu’il l’est … »
→ Vous
n'arrêtez pas avec les phrases de ce genre mais critiquez-vous Soral
sur le fond ne serait-ce qu'une fois ? Les sites Esprit68,
Les mots ont du sens et le blog de F. Dufoing le font, mais le blog
Tatamoche ? Notez que je n'ai pas pour intention de dévaluer
votre démarche d'autant qu'elle est une passerelle vers ces sites.
Je vise juste à souligner qu'à côté de ce vide sur le fond vous
donnez beaucoup, non énormément, de leçons sur internet à coup
d'affirmations injustifiées et de taillades ad hom. Dès qu'on est
intéressé par Soral et qu'on tombe sur vous, on devient un punching
ball. Vous êtes un habitué, non, un acharné de l'ad hom. Je l'ai
bien vu. Vos réponses rapides et condescendantes sur divers sites
sont constituées d'ad hom aussi insolents qu'indolents et relèvent du troll puisque non
constructives mais de nature à prolonger une polémique. Je ne
réduis pas Tatamoche à cela mais c'est une tendance.
Par
rapport à Céline que vous critiquez audacieusement sur un plan
socio-historique selon des suppositions de corrélation entre sont
œuvre et l'antisémitisme français, je suis curieux de savoir dans
quelle mesure vous corréler les deux points. Quelle serait l'étendue
de sa responsabilité, comment il se la partage avec la presse.
J'ai
tendance à me demander « sérieusement, qui tomberai
nazi en lisant Céline aujourd'hui ?avec la leçon de l'Histoire
entretenue par la mémoire à travers les médias, et tout ? »
mais il y a ce Soral qui vulnérabilise, commence en douceur comme
Hitler commençait (ça y est, point Godwin...).
Dans
tous les cas je ne suis absolument pas dérangé par la qualification
de caractères portés par une culture (ceux qui sont exacerbés chez les archétypes, qui sont parfois des intégristes). Ainsi j'accepte
sans problème les caricatures des sketchs de Dieudonné et la
majorité des phrases sorties de Comprendre l'Empire par Paresia.
Si
l'on s'auto-censure au lieu de pointer les caractères d'une culture
de façon décomplexée, alors il sera impossible de construire des
diagnostics complets avec des solutions efficaces à la clé. Non, à
la place, on n'aura aucune idée de l'influence des cultures qui ne
figureront jamais parmi les facteurs explicatifs des phénomènes.
Inhibition intellectuelle. Exemples de données sur les cultures : la
fraternité et le « communisme sans Dieu » chez les
musulmans peuvent expliquer un certain holisme en banlieue, par
exemple dans l'analyse de la délinquance de banlieue, en figurant
bien sûr à côté d'autres corrélats de toutes sortes ; la
culture de la réussite peut en partie expliquer la proportion de
Juifs dans les hauts postes ; des orientations économiques
historiques et des comportement différents au niveau de l'épargne
peuvent s'expliquer en fonction que le pays considéré soit de
tradition catholique ou de tradition protestante, etc.
ET
OUI J'AI DEJA EMIS DES VANNES OU CA PARLAIT EN TERME DE YOUPINS, ET
BEAUCOUP RIS ! Et je suis un admirateur de l'Humour juif. Je regrette
qu'il y ait si peu de citations de Tristan Bernard sur Wikipédia :
<<
À son départ pour le camp de déportation,
« -
De quoi avez-vous besoin M. Tristan Bernard ? »
« -
D'un cache-nez. » >>
Quant
à votre disqualification de l'humour noir qui serait "encore
chaud" (mon propre terme, pas le votre) , elle me laisse
perplexe :
« L’humour
noir est acceptable si c’est un humour réellement désespéré. Je
ne crois pas que nous soyons dans ce cas ici. Pour être
capable d’humour noir, il faut être capable de se distancer de ses
propres émotions. »
-->
L'humour noir, fait d'états d'âme lucides, serait parasité dans sa
pureté par l'émotion ? Déjà de l'humour noir exempt d'émotion,
ça n'a pas dû être fait très souvent, ça m'a l'air assez
compliqué à mettre en place. Visez-vous l'émotion en soi ou
seulement la présence d'animosité envers Israël, vue comme
« antisémite » ?
Selon
votre définition aux relents assez élitistes de l'humour noir,
peu peuvent y prétendre.
« 2)
Pour Dieudonné, il est certainement vrai que "son personnage
est plus complexe" que ce l’impression que peuvent donner ses
façons de réagir. Ceci dit, je ne vois en quoi cela rend moins
CONDAMNABLE (et non simplement "criticable") son invitation
de Faurisson et le fort détestable sketch dont vous parlez. (Sketch
dont le seul mérite est de montrer à ceux qui croient encore que
Faurisson n’est qu’un brave type "cherchant la vérité
historique", qu’il s’agit, bel et bien, d’un antisémite) »
-->
C'est injurieux de parler de sketch « antisémite »,
enfin ! C'est un mot qui envoie en prison ! Souffrez d'une
certaine vision de l'humour où l'on peut rire des intégristes
juifs, encore moins critiquable que l'Humour juif lui-même qui se
moque des Juifs depuis la nuit des temps. Je ne trouve pas ces
sketchs avec Faurisson drôles mais c'est une question de goût et de
vue à la baisse de la drôlerie chez l'humoriste. Pas question de
l'envoyer en prison ou de l'empêcher de travailler parce que
Faurisson incarne un salopard du monde associatif qui abuse de son
pouvoir. Pas question non plus de condamner cette humour noir qui ne
vise même pas le peuple juif ! (Préjugés ?) Au contraire il
est de nature à éclairer le public via un certain angle (je
rappelle qu'un artiste a à bon droit sa monomanie). Cet angle sur
les salauds joués par Faurisson et Dieudonné lui-même est
justement de nature à sortir certains religieux naïfs de JSS de
leur aveuglement : ils ont des intégristes au pouvoir pour
réaliser leur eschatologie, des délirants comme BHL qui sont des
gens qui appellent naturellement le rire ! Les Juifs sont
évidemment les bienvenues vu qu'ils ne sont pas les cibles. Vous
avez des préjugés nan ? On ressort une idée d'universalisme de
Foxtrot.
Je
dis cela tout en accueillant avec satisfaction le
commentaire
de «Max_Ou
» sur les relations du bonhomme.
Questions :
est-il possible de rire sur les sujets traités par Dieudonné ?
Peut-il y avoir un Dieudonné-en-meilleur ? Assumez vos dogmes
s'il y en a.
Par
vous-même à Armurier : « Je
vous remercie également , mais c’est involontaire de votre part,
de m’avoir fait comprendre ce qu’avait certainement à l’esprit
les parlementaires quant ils ont voté (à
la majorité donc)
la Loi Gayssot. Il arrive un moment où, avec certains individus,
seule la Loi peut encadrer leurs délires. »
-->
Est-il possible d'avoir une historiographie différente de la version
proposée sur anti-rev.org ? Y a-t-il des dogmes ? Chez qui ?
De quelle nature ? Dans votre tête ? Votre vision
normative de la société ? Si vous avez une
historiographie définitive j'espère que vous avez quelque chose de
solide pour la cimenter. Vous avez sûrement d'excellents arguments,
à vous de les développer s'ils ne se résument pas à des dogmes
amalgamant entre connaissance et norme.
Je
me méfie de cette expression de « Loi », on croirait
lire un platonicien. En effet, la minuscule est la règle, la
majuscule l’exception. Il faut dès lors éviter de verser dans la
majusculite.
Et
une « Loi » pour recadrer des délires tels que des
sketchs de Dieudonné et Faurisson qui interprètent un
intégriste juif au pouvoir ? N'est-ce pas liberticide et
complètement attardé ?
« J’ajoute
enfin que Dieudonné, par son attitude désinvolte et irresponsable,
insulte la corporation des historiens dignes de ce nom qui ont
oeuvré, et qui oeuvrent continuellement, pour que la vraie recherche
de la "vérité historique" ne soit pas falsifié . . »
-->
Dire cela sans jugement moral rend la phrase plus crédible. En
effet, vous prétendez défendre l'épistémè et rien qu'elle mais
auriez-vous cette attitude vindicative sur un autre sujet
d'Histoire ?
« Vous
devriez vous interroger plus avant sur la notion de «tabou». Cela
vous éviterait, peut-être de reprendre sans savoir, au risque de
passer pour un perroquet, cette antienne de
l’extrême-droite paranoïaque sur «Le tabou» qui, d’après
leurs fantasmes débiles règne dans nos sociétés démocratiques. »
-->
Allons bon. Qu'est-ce que vous pouvez m'apprendre sur le tabou
contemporain dans notre PAF et notre presse, vous qui sembliez
si sûr que Soral a déjà été invité à la télévision passé
l'année 2010, ce dont je doute fortement car c'est l'année de
« blacklistage » vraisemblable du « libre-penseur »
Taddéï. Vous avez en effet écrit :
« -
Soit ce sont des émissions ou extraits d’émissions (télévisées
ou radiodiffusées) à laquelle cette marionnette du PAF a été
invité (on notera à ce sujet qu’Alain Soral est un ce qu’en bon
français on appelle menteur quant
il prétend n’être jamais invité). »
« A
propos de Soral et de ses partisans, on peut parler de "secte"
politique dans la mesure où en amont du discours politique plus ou
moins cohérent il y a la nécessité d’une adhésion globale et
obligatoire à la doxa du guru (On a vu, à travers quelques exemples
fameux, ce qu’il en coûtait de contester la parole du "chef"
…) »
-->
Tout est virtuel sauf en conférence. Là, on peut se prendre une
petite humiliation« profe-sorale » assez
sadique. Dans le futur, à un autre stade où l'esprit critique
serait encore plus neutralisé au sein de la structure, la sanction
pourrait effectivement changer de nature, c'est ce que vous pensez ?
On imagine bien une tentative de révolution peu ou proue
-fatalement- royaliste avec Soral et une évolution des règles de la
structure E&R pour s'adapter à son évolution fonctionnelle. Ils
parlent d'ailleurs concrètement de révolution dans des conférences
récentes sur un hommage à Chavez et sur la monarchie.
« Ce
que vous ne comprenez manifestement pas est la stupidité qu’il
y a à poser toute question politique à l’aide d’une grille à
deux carreaux : judéophile ou judéophobe. »
-->
Il faut bien verbaliser les tendances qui peuvent être nuisibles à
la lucidité, à la justesse, à la grandeur d'un discours ; c'est
ainsi que je parlerais de tendance judéophile ou
"judéo-protectrice". Ainsi il n'y a pas de "grille"
réductrice, juste la qualification d'une tendance perçue.
Tendance dans laquelle on se contente de la vraisemblance pour
pointer un sentiment raciste anti-juif (ou ce qu'on nomme
« antisémitisme ») et où tout débordement dans
l'amour d'Israël est laissé de côté comme un concept constamment
refoulé ou non-acquis. Permettez-moi de trouver cela assez incongru,
laxiste et d'y voir une négligence.
Vous m'aviez
enfin répondu sur le combat de Dieudonné et vous avez effacé votre
post qui relate la légitimité évidente de l'amour d'Israël par
les siens, juste à cause de la note aigrie que j'ai postée sur mon
blog.
« - Ecrire
que je ne peux lire Nabe «sans vomir» (Qu'en savez-vou ?) est soit
une stupidité, soit un mensonge, choisissez ! »
-->
Vous semblez avoir du mal avec les points d'interrogation : "
Êtes-vous capable de lire Nabe sans le vomir ? Parce que [le cas
échéant] vous devriez vous forcer. "
« Question :
Quelqu’un vous a-t-il déjà fait remarquer que vous souffrez
peut-être d'un « trouble du langage» ? (Compréhension
et formulation troublées) »
-->
Sur le billet sur AdB j'ai fait des legos avec les concepts d'une
connaissance fraîchement acquise, pas de trouble du langage. A
l'école je manie l'opérateur, la fonction, le numérateur etc ;
je considère le langage comme un outil (le concept étant une
cristallisation purifiant le langage), quelque chose dont je n'ai pas
tendance à soigner l'esthétique ou, plus important, la commodité.
Ce alors même qu'il semblerait que j'aie à faire à un
interlocuteur qui a besoin d'une expression commode, besoin sans
lequel il ne serait pas complètement perdu en me lisant et pourrait
au moins reprendre et critiquer des parties de mes constructions de
legos.
Votre
compréhension du langage n'est pas très rentre-dedans, c'est le
moins que l'on puisse dire si l'on veut euphémiser. Vous ne vous
donnez jamais la peine de tenter une supposition sur le sens que je
donne à mes expressions, comme si le sens des mots ne
dépendait pas un peu du contexte et de l'auteur.
Certes,
« pensée hitlérienne » ne veut strictement rien dire
pour qui ne tente rien, pour qui n'interprète en fonction du
contexte. Vous ne devez pas être très bon dans la compréhension
écrite de l'anglais ou de toute autre langue moins riche que le
Français ; en effet je me dis que vous auriez peut-être
développé une manière de lire laissant plus de place à
l'interprétation.
Me
reprocher de ne pas savoir m'exprimer quand on a soi-même une façon
de lire exceptionnelle peut mettre en doute la certitude que je ne
sais pas m'exprimer. Ma non-maîtrise de certains concepts est loin
d'être incompatible avec l'éventualité que vous preniez beaucoup
trop de pincettes dans votre lecture univoque. Pour refaire un clin
d'oeil à l'expression de Kant dont j'ai lu des lignes, votre lecture
ne supporte pas les incertitudes.
Sans
compter que vous avez aussi des moments de grande clarté : " Alain
Soral est onto-psychologiquement un frimeur. "
Sur
le sujet de la drogue que je ne risque pas de toucher et d'un
éventuel trouble du langage, vous n'avez jamais été aussi bon dans
le comique :
Vous
m'avez cité :
« (...)
à vous lire : les membres d'une communauté peut-être vi times
mais jamais responsables d'une faute ayant un lien avec leur
appartenance »
Puis
vous m'avez demandé « Où
est le sujet, où est le verbe, quel est le complément d’objet ?
Qu’avez-vous voulu dire exactement ? »
Parce
que monsieur l'indolent n'a pas du tout fait l'effort de corriger ce
qui n'est qu'une banale et évidente faute de frappe : à savoir
que les membres d'une communauté PEUVENT être victimes.
Ca
vous a d'ailleurs peut-être échappé mais en terme de fautes de
frappe vous êtes vous-même une source d'inspiration pour des
générations et des générations :
- Le 15/08/13 à 19:18 : " Il est certain que si vous voulez avoir un petit espoir qu'il vousrépondre, il vaut mieux que vous appreniez à mieux vous exprimer "
- Le 15/08/13 19:18 " Si vous n'arrrivez même pas ni à vous souvenir , ni à vous relire, je comprends mieux que vous soyez perdu. "
- Le 16 août 2013 20:20 : « Entre autres imbécillités notables l’auteur du blog indiqué ci-dessus cite Fréféric Delorca »
- il y a 6 mois sur Youtube : « Sachez tout de même que j'ai en toutes écrites la même chose sur le net et indiqué à BL à quoi endroit. J'attends encore qu'il m'attaque pour diffamation ... »
Je
cite ce sur quoi je suis tombé il y a cinq minutes mais j'ai
d'autres souvenirs d'infinitifs incongrus et de mots oubliés. Ca
arrive à tout le monde la faute de frappe.
Quand
on voit votre goût pour la confrontation avec des débiles, on se
dit que vous auriez dû naître plus tard. En plus d'être moins
coincé du cul vous auriez fait un parfait troll, huhu.
Vous
qui êtes actif dans l'offensive (documentée!) envers Soral sur
internet, je vous remercie et vous encourage à cela depuis le début
au nom de ma dialectique de lecteur d'E&R en attente de recul, et
sachant que nous sommes nombreux à être dans cette saine volonté
de prendre du recul. Vous avez rencontré le bonhomme en étant
membre de la ND. Vous qui êtes si chatouilleux aujourd'hui avec le
fascisme et le racisme larvés, comment avez-vous pu fricoter avec
les gens-là ? A lire l'activiste que vous êtes aujourd'hui, la
prise de conscience s'est peut-être faîte dans un contexte violent.
Y a-t-il eu conflit, dispute ? Est-ce qu'on peut facilement
être AUSSI chatouilleux sur ces points alors même qu'on a fait
parti de la ND, sans qu'il y ait derrière une désillusion très
brutale ? Peut-être une illusion très forte d'abord, puis la
conscience d'avoir été manipulé par les sortilèges sophistiques
qui sont commodes dans ces milieux ?
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